Volltext: 5(1923), Mai-Juin. = Nr. 32 (32)

JACQUES BARON 
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MATIN 
Des piliers de violettes et la villa d’Archange 
se lovent dans la ville avec les moindres cris 
O villa 
Où j’ai bu ma plus itère innocence 
dans les pierres creusées en corail d’amour 
Un signe inouï laisse passer des hommes 
Où donc est le printemps mouillé 
C’est un étrange espace où nous claquons des dents 
Ouvre la porte 
Beaux yeux mordorés par les veilles 
j’ai la mort dans le cœur de savoir 
que ma charogne sent mauvais 
Les entrailles ont crié Entends chanter aussi 
Tout le cœur de la ville 
Ne me mords pas vilaine bête en flamme 
et si Je suis tranquille 
plus tard tu berceras des agneaux sans pareil 
Délire féroce Pieuvre 
Fleuve 
des Indiens purs comme leur peau tannée 
J’arriverai dans une barque de diamant 
et l’on ne saura plus ce qui s’est arrêté
	        
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