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main
corniche de la petite armoire
de la
mes
maintenant de chercher dans le dictionnaire un mot
blement le mot : souris. J’ouvris à Rh et mon atten
attirée par la figure qui accompagnait le mot : rhéos
aussitôt
nombre de parachutes ou de nuasres suspendus ensemble
maniéré
nuage il y avait, accroupi, un chinois. Je crus avoir trouvé ensuite ce
m
rongeur. Mais
je n’avais plus grande
attention à donner de ce côté. Devant le piano
tenait en effet M. Charles Baron, ieune homme ai
?
moi
n’arrive jamais à reconnaître, vêtu de noir et avec une certaine
recherche. Avant que j’eusse pu lui demander compte de sa présence,
Louis Aragon l’avait déjà remplacé. Il venait me persuader de l’obli
gation pour nous de sortir ensemble immédiatement : je le suivais.
Au bas de l’escalier, nous étions avenue des Champs-Elysées, montant
vers l’Etoile où, d’après Aragon, nous devions à tout prix arriver
Nous portions chacun un cadre vide. Sous l’Arc
Triomphe je ]
marquait sept
me débarrasser du mien, la pendule
Arago
objectait le risque de
absolument aue les cadres fussent à l’abri. Nous
mes par les placer sous la protection des moulures supérieures, contre
la pi-erre, légèrement inclinés, à hauteur de chevalet. Il était question,
je crois, de venir les reprendre plus tard. Au moment où nous les
Arago
itait doré, le mien blanc
dimensions sensiblement
moins
André Breton.
PRIX BALZAC. — « A mon avis les deux écrivains qui ont le plus influencé
et qui d’une façon générale influencent encore les poètes et les écrivains de ma
génération sont Guillaume Apollinaire et Jean Giraudoux. L’un est mort, l’autre
est modeste. »
Philippe Soupault.
Eh bien merde.
Louis Aragon