ouer
une maison à I
zerfällt
arround
humides
the door a swetheart
commancèrent à brûler
verzerrt
in
der Natur
c’est
très
intéressant les
griffes
aufgetan
Der
Ceylonlöve
ist kein
Journal
de Genève
au
Teerpappe macht Rawagen
in
der
Nacht
mine
is waiting patiently
for
me
I
j’ai
mis le cheval
dans
l’âme
du
des
chrza
my
morsures équatoriales
prrrza
great room
chrrrza
is
Schwan
Wer
Wasser
braucht
find
I
love
the
ladies
restaurant
Le
télégraphiste
assassine
Dans
l’église
après
la
messe
le pêcheur dit
à la comtesse :
Find
And
Adieu Mathilde
was
when
er
it’s
nötig
five
uro
uru
uru
uro
uru
uru
uru
uro pataclan
patablan
pataplan
u ri
uri
uro
shai
shai
shai
shai
shai
shai
Every
body is doing it
doing it
doing it
Every
body
is
intestins écrasés
tata taratata tatatata In Joschiwara dröhnt der Brand und knallt mit schnellen
that throw there shoulders in the air She said the raising her heart oh dwelling oh
sant la distance des batteaux Tandis que les archanges chient et les oiseaux tombent Oh! mon
alte Oberpriester und zeigt der Schenkel volle Tastatur
yes oh yes oh yes oh yes oh yes yes yes oh yes sir
son cinéma la prore de je vous adore était au casino du sycomore
L’Amiral n’a
L’Amiral n’a
L’Amiral n’a
rien trouvé
rien trouvé
rien trouvé
En même temps Mr Apollinaire essayait un nouveau genre de poème visuel, qui
est plus intéressant encore par son manque de système et par sa fantaisie tourmentée.
11 accentue les images centrales, typographiquement, et donne la possibilité de comman-
cer à lire un poème de tous les côtés à la fois. Les poèmes de Mrs Barzun et Divoire
sont purement formels. Ils cherchent un éffort musical, qu’on peut imaginer en faisant les
mêmes abstractions que sur une partiture d’orchestre.
* * *
*
Je voulais réaliser un poème basé sur d’autres principes. Qui consistent dans la
possibilité que je donne à chaque écoutant de lier les associations convenables. Il retient
les éléments caractéristiques pour sa personalité, les entremêle, les fragmente etc, res
tant tout-de-même dans la diréction que l’auteur a canal.sé.
Le poème que j’ai arrangé (avec Huelsenbeck et Janko) ne donne pas une descrip
tion musicale, mais tente à individualiser l’impression du poème simultan auquel nous
donnons par là une nouvelle portée.
La lecture parallèle que nous avons fait le 31 mars 1916, Huelsenbeck, Janko et
moi, était la première réalisation scénique de cette estéthique moderne.
TRISTAN TZARA
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